Un chasseur de lions, roman / Olivier Rolin. - Paris : Seuil, 2008. - 234 p.. - (Fiction & Cie)
ISBN 978-2-02-084649-3
Récit des aventures rocambolesques d'Eugène Pertuiset croisées avec divers épisodes de la vie d'Edouard Manet dont il fut le modèle occasionnel. Chasseur de lions, homme à femmes, gros mangeur et buveur, Pertuiset entreprit de nombreux voyages en Amérique du Sud, ainsi que la première tentative d'exploration de la Terre de Feu. Il fut également magnétiseur, inventeur et trafiquant d'armes.
Présentation de l'éditeur
Les destins croisés d’Edouard Manet, qui meurt à 51 ans de gangrène, et de son collectionneur et modèle occasionnel, Eugène Pertuiset, aventurier, chasseur de lions, homme à femmes, gros mangeur et buveur, explorateur à ses heures, jusqu’à la Terre de feu. En 1881, deux ans avant sa mort, Edouard Manet fait le portrait d’un personnage haut en couleurs de l’époque, Eugène Pertuiset, à ses heures chasseur de lions en Algérie, mais aussi magnétiseur, explorateur, inventeur et trafiquant d’armes, activités qui le mèneront à accomplir de nombreux voyages en Amérique du Sud, et à faire la première tentative d’exploration de la Terre de Feu. Ce Portrait de Pertuiset, le chasseur de lions, qui n’est peut-être pas le plus connu de Manet aujourd’hui, ni le plus admiré, valut à l’artiste un prix au Salon. Les deux hommes étaient liés, et l’aventurier avait le bon goût d’être un collectionneur de Manet. Ce sont les aventures de ce Pertuiset, rocambolesques et assez farcesques, que retrace Olivier Rolin, croisées avec divers épisodes de la vie de Manet. C’est aussi un voyage à travers l’espace (l’Algérie coloniale, Lima, Valparaiso, la Terre de Feu), le temps (le Paris de Napoléon III, la guerre de 70, la Commune), les souvenirs littéraires (Baudelaire, Zola, Maupassant, etc.). Un roman mené tambour battant, comme une suite très rythmée de scènes ou de tableaux colorés. Mais bien sûr, Olivier Rolin ne fait pas un roman classique, et il entrecoupe son récit par l’évocation de souvenirs personnels qui le ramènent vingt-cinq ans en arrière lorsque, journaliste, il arpentait le continent latino-américain. « Le lion que tu chassais, la Terre de Feu que tu explorais, le trésor que tu cherchais, c’était, comme toujours, le temps perdu. »
ISBN 978-2-02-084649-3
Récit des aventures rocambolesques d'Eugène Pertuiset croisées avec divers épisodes de la vie d'Edouard Manet dont il fut le modèle occasionnel. Chasseur de lions, homme à femmes, gros mangeur et buveur, Pertuiset entreprit de nombreux voyages en Amérique du Sud, ainsi que la première tentative d'exploration de la Terre de Feu. Il fut également magnétiseur, inventeur et trafiquant d'armes.
Présentation de l'éditeur
Les destins croisés d’Edouard Manet, qui meurt à 51 ans de gangrène, et de son collectionneur et modèle occasionnel, Eugène Pertuiset, aventurier, chasseur de lions, homme à femmes, gros mangeur et buveur, explorateur à ses heures, jusqu’à la Terre de feu. En 1881, deux ans avant sa mort, Edouard Manet fait le portrait d’un personnage haut en couleurs de l’époque, Eugène Pertuiset, à ses heures chasseur de lions en Algérie, mais aussi magnétiseur, explorateur, inventeur et trafiquant d’armes, activités qui le mèneront à accomplir de nombreux voyages en Amérique du Sud, et à faire la première tentative d’exploration de la Terre de Feu. Ce Portrait de Pertuiset, le chasseur de lions, qui n’est peut-être pas le plus connu de Manet aujourd’hui, ni le plus admiré, valut à l’artiste un prix au Salon. Les deux hommes étaient liés, et l’aventurier avait le bon goût d’être un collectionneur de Manet. Ce sont les aventures de ce Pertuiset, rocambolesques et assez farcesques, que retrace Olivier Rolin, croisées avec divers épisodes de la vie de Manet. C’est aussi un voyage à travers l’espace (l’Algérie coloniale, Lima, Valparaiso, la Terre de Feu), le temps (le Paris de Napoléon III, la guerre de 70, la Commune), les souvenirs littéraires (Baudelaire, Zola, Maupassant, etc.). Un roman mené tambour battant, comme une suite très rythmée de scènes ou de tableaux colorés. Mais bien sûr, Olivier Rolin ne fait pas un roman classique, et il entrecoupe son récit par l’évocation de souvenirs personnels qui le ramènent vingt-cinq ans en arrière lorsque, journaliste, il arpentait le continent latino-américain. « Le lion que tu chassais, la Terre de Feu que tu explorais, le trésor que tu cherchais, c’était, comme toujours, le temps perdu. »
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